Géorgie - TBILISSI : Chaud devant !!!

Jeudi 13 juin 2019

Tbilissi, capitale de la Géorgie, est construite au bord du fleuve Mtkvari (Koura). Le nom de la ville est lié aux sources sulfureuses chaudes et à une légende d'après laquelle le roi Vakhtangue Gorgassali (Ve siècle), lors d'une chasse, lança son faucon après un faisan ; il attendit, mais ne vit pas revenir l'oiseau. Alors il suivit la direction prise par celui-ci plus bas dans la vallée où coulait une rivière dégageant de la vapeur, et de la couleur du souffre. Il constata que le faisan s’était noyé et que le faucon s'était posé dessus. Conquis par la source d’eau chaude, le roi fonda Tbilissi dans cette même vallée...  ("tbili’" signifie chaud en géorgien).

Cette capitale compte environ 1.7 million d'habitants aujourd'hui. Elle fut de nombreuses fois occupée notamment par les Arabes et les Turcs. En 1801, elle est passée sous la domination russe. De 1918 à 1921, la Géorgie a été indépendante, et Tbilissi en était la capitale. En 1921, elle est devenue la capitale de la République socialiste soviétique fédérée de Transcaucasie, et plus tard de la République socialiste soviétique de Géorgie. Depuis le 9 avril 1991, Tbilissi est la capitale de la République indépendante de Géorgie. 


Alexandre Dumas, dans son "Voyage au Caucase" (1859), a d'ailleurs loué les charmes de la ville. Pour découvrir cette charmante capitale, nous prévoyons deux séjours : 1 jour lors de notre arrivée, puis plusieurs jours à la fin du voyage ! Mais le premier jour est un peu occupé à la recherche d'un petit frère ou d'une petite soeur à Minus... On a pris le métro, le bus !!! On a eu chaud : 35° !

Et notre compagnon sera Pajero Io, un petit 4x4 Mitsubishi !



Non ! Ce n'est pas la peur, mais la difficulté de faire un selfie !!!!











On en profite aussi pour se balader à pied dans Roustavéli. L'avenue "haussmannisée" de Roustaveli est entrecoupée de constructions néoclassiques où se mêlent quelques "ovnis" tous droit sortis du 21e siècle.  Il n’y a qu’ici que ce genre de mélange peut être réussi ! Résultat, la ville possède une atmosphère qui lui est propre.

C'est l'avenue la plus classe de la ville, le centre bouillonnant du pays ! L'endroit où il faut être vu ! C'est ici que viennent les habitants de Tbilisi pour se pavaner entre boutiques de luxes et centre commercial. Une espèce de Champs-Elysées à la géorgienne. De beaux bâtiments restaurés ou en cours de restauration, les plus importants bâtiments publics : Parlement, Musée, Eglise... 

Avant le Pont Sec (Dry Bridge) on traverse un fantastique et gigantesque marché aux puces... Héritage des temps de disettes communistes. Tout se vend ici : casques de combat, orfèvrerie géorgienne, peinture, armes, pièces détachées de tout et n'importe quoi !!! 





Mais beaucoup de circulation à vive allure... Un exploit pour traverser !!! Les passages piétons seraient-ils là uniquement pour décorer la chaussée ? Des fous du volant se trimbalent dans les voitures les plus chères du marché, côtoyant la "pôôôvre" Lada.... Cette prépondérance automobile s'est traduite par la création de nombreux passages souterrains. Ouf ! Ces derniers peuvent tout autant être des lieux mornes et tristes, comme des lieux de vie populaires géorgiens. On y trouve de tout ! De la boulangerie à la quincaillerie, en passant par des salons de coiffure, ces commerces forment une véritable ville sous la ville. Mais ces passages souterrains constituent également une mine d'or pour les amateurs de street art, de nombreux graffitis et fresques ornent leurs murs, dont certains, d'une incroyable beauté.


Et ce soir nous logeons à La Fabrika, assez proche de la gare. Installé dans une ancienne usine soviétique de couture, brillamment réaménagée, ce lieu vintage abrite un hôtel design, ainsi qu’une cour accueillant studios d’artistes, ateliers, boutiques branchées et des bars électro où la jeunesse locale vient "s’encanailler" le week-end. Mais... samedi on ne sera déjà plus là... Pour Dago (vu le nombre de jeunes qui peuplent cette auberge de jeunesse), ce n'est plus de notre âge, moi je trouve très bien ! On a une chambre individuelle !!!



L'ancien monte-charge sert d'ascenseur !












Et... Si on vous dit Khinkali, Khatchapuri, Sulguni, Badrijani, Mtsvadi, Kebab, Soko Kecze ça vous  parle ? La Géorgie est un pays où la viande est mise à l'honneur. Mais, il y a aussi de nombreux plats végétariens à base d'aubergines, de noix en tous genres, de tomates. Et le pain ! Il est absolument divin.

Le midi, affamés !!!, nous nous arrêtons au Dzveli Sardaphi et nous découvrons l'Odjakhouli (ragoût porc, pommes de terre, champignons, herbes...), servi très, très chaud dans un Ketsi (bol en poterie). C'est une exception ! Nous n'allons pas habituellement au restaurant le midi...




 Et, pour le soir, une chance : un Français en mission en Géorgie nous indique un restau super à 500 m de la Fabrika : le Shavi Lomi...




C'est la porte d'entrée (ou de sortie) !!!







Les potins de la commère


Saakachvili -  l'homme cocasse du Caucase !


Nous sommes périodiquement tenus au courant des frasques et éclats grandiloquents d'un Géorgien qui n'est ni Staline, ni un de ses héritiers, mais qui ne lasse pas d'inquiéter par ses rodomontades, ses visions paranoïaques et son égocentrisme paradoxal. Petit avocat new-yorkais, le sieur a eu l'immense intelligence de s'atteler au poussif attelage européiste et droit-de-l'hommiste qui gravite autour de Bruxelles et de Strasbourg. 

Couvert de titres universitaires prestigieux d'écoles que ni vous, ni moi ne pouvons ni connaître, ni reconnaître - et après tout, la belle affaire !... - Saakachvili apparaît dans les fourgons de l'Otan et de l'Europe de Maastricht lors de la partie de poker menteur qu'on a appelé "la chute du communisme". Un homme modéré, mais communiste, survivant du coup d'état de Eltsine au détriment de Gorbatchev, mais démocratiquement élu, je veux parler ici d'Edouard Chevarnadzé, dirigeant bénignement la Géorgie en rupture de ban avec la Moscou avinée et concussionnaire de Boris Eltsine. 


Et ce parangon de vertus démocratiques et de droits-de-l'homme, Mikhaïl Saakachvili, élu député géorgien à 27 ans alors qu'il n'a quasiment jamais vécu en Géorgie, lance l'assaut avec les subsides de la CIA et de l'OSCE contre le Parlement. Armé d'un énorme revolver et encadré d'une horde de braillards gigantesques à grandes moustaches et longs couteaux, il moleste Chevarnadzé en pleine session parlementaire. Epouvanté des précédents historiques, Chevarnadzé s'enfuit in extremis, et Saakachvili prend le pouvoir avec la bénédiction de ses commanditaires de la CIA, de l'OSCE et de l'Open Society de Georges Soros (financier milliardaire américain d'origine hongroise. Ses détracteurs l'accusent de spéculer sur l'Euro comme il l'avait fait avec la Livre Sterling. Ils le soupçonnent donc d'être en partie à l'origine des crises financières européennes actuelles, ceci afin de prêter par la suite de l'argent à l'Europe à des taux d’intérêt très élevés.). 


Organisant la démocratie à sa dévotion avec l'art consommé qui faisait la réputation de son compatriote Staline, au moins lors de sa "première manière", Saakachvili parvient à éliminer toute opposition, s'appuyant essentiellement et visiblement sur les menées de l'Open Society de Georges Soros, … et sur les appétits miteux de quelques Occidentaux comme ceux des Pays-Bas, de l'Allemagne et de la France. 


Pour démontrer les manières démocratiques du bonhomme Saakachvili, on peut rappeler cet épisode incroyable. Un beau jour de printemps, probablement travaillés par quelque montée de sève, les démocrates, donc membres de l'opposition contre Saakachvili, déclarent organiser pour le vendredi une grande manifestation devant rassembler quelques dizaines de manifestants en vestes de cuir et grandes moustaches. Bien. Que croyez-qu'Il fit ? Il prétexta ce jour-là qu'une rébellion d'un bataillon de tankistes encaserné près du lieu de la manifestation interdisait toute manifestation publique, donc de l'opposition. C'est tout. Tout le monde resta chez soi et Saakachvili poursuivit imperturbablement son gouvernement. Démocratique !


Les débuts de sa présidence sont prometteurs. Bénéficiant d’un important flux d’investissements étrangers, il poursuit les grands travaux d’infrastructures déjà engagés dans le cadre de la TRACECA (Transport Corridor Europe Central Asia) avec la mise à niveau des ports sur la mer Noire et des routes et voies ferrées ouvrant vers l’Azerbaïdjan et les États de la mer Caspienne. Outre une série de réalisations spectaculaires et souvent contestées dans la capitale (un nouveau palais présidentiel évoquant le Capitole), il engage une politique systématique d’investissements en province (hôpitaux, centres administratifs, complexes sportifs) et choisit plusieurs villes comme symboles de son action : la seconde ville du pays Koutaïssi qu’il dote de nouvelles fonctions, Sighnaghi, petit centre touristique à l’est du pays et surtout la région de Batoumi sur la mer Noire et sa riviera où il parvient à attirer de nombreux investisseurs turcs, kazakhes et chinois, émiratis, faisant de ce vieux port un nouveau centre touristique majeur dont le dynamisme demeure significatif jusqu’à aujourd’hui.
Assez vite cependant, quelques signaux d’alerte se mettent à clignoter. A Tbilissi, on parle d’un mode de gouvernement « bonapartiste ». S’il parvient à éradiquer la petite corruption, M. Saakachvili maintient un contrôle opaque et autoritaire sur tous les grands projets d’investissement, au bénéfice d’un petit cercle d’associés. Confronté à une grave crise politique en 2007, il s’engage dans une spirale répressive contre l’opposition et les médias qui la soutiennent et ne doit qu’à une manœuvre politique (il provoque début 2008 des élections présidentielles anticipées qu’il gagne avec 53% des voix) de bénéficier d’un second mandat. 


La guerre qui éclate dans la nuit du 7 au 8 août 2008 va s’avérer catastrophique. En dépit des efforts de l’Union européenne (sous la présidence de la France) qui parvient à négocier un cessez-le-feu le 12 août, le pays est démembré avec la reconnaissance par Moscou de l’indépendance des deux régions sécessionnistes, l’Abkhazie et l’Ossétie du Sud. 


Entre 2008 et 2013, la cote de popularité du président Saakachvili ne cesse de décliner et les accusations se multiplient contre le système qu’il a mis en place. Mikheïl Saakachvili se maintient au pouvoir et ne boude pas les avantages qui y sont attachés. Vêtements, dîners chics, séjours dans des hôtels luxueux, chirurgie esthétique ou encore massages : Mikheïl Saakachvili aurait eu une conception particulièrement large de l'utilisation de fonds publics. Le total de ces dépenses privées faites sur le dos de l'Etat s'élèverait à près de 3,3 millions d'euros.
L'élection présidentielle de 2013 se déroule dans un climat d’accusations virulentes (plusieurs des ministres sont soupçonnés de corruption et d’avoir couvert assassinats et tortures dans les prisons). Elle est remportée par Guiorgui Margvelachvili, candidat du Rêve géorgien (le parti créé en 2011 par le milliardaire Bidzina Ivanichvili) avec 62 % des suffrages contre Davot Bakradze, le candidat du MNU (le parti de Saakachvili) qui obtient 22 %. Peu après les élections, menacé d’arrestation, M. Saakachvili se réfugie aux États-Unis puis accepte, en mai 2015, le poste de gouverneur de la région d’Odessa en Ukraine, l'une des plus corrompues d'Ukraine, où il entame une seconde carrière politique particulièrement chaotique.
D'après Philippe Brindet - 27 juillet 2010



Après avoir perdu l'élection présidentielle en 2013, Mikheïl Saakachvili est contraint à l'exil afin d'échapper aux poursuites judiciaires, et choisit pour destination les Etats-Unis.

En mai 2015, le nouvel homme fort de l'Ukraine Petro Porochenko, arrivé au pouvoir grâce à un coup d'Etat avec la bénédiction du Département d'Etat américain et de l'Union européenne, accorde à Mikheïl Saakachvili la nationalité ukrainienne afin qu'il puisse devenir le gouverneur de la région d'Odessa. Mais il perd par là-même sa nationalité géorgienne, la Géorgie n'acceptant pas la double nationalité. Une décision qui va s'avérer lourde de conséquences alors que les relations entre Mikheïl Saakachvili et Petro Porochenko se dégradent très vite. Le gouverneur se fait très critique à l'égard du pouvoir de Kiev. Sa popularité croissante inquiète l'exécutif ukrainien, notamment le président Petro Porochenko.

En novembre 2016, alors que sa relation avec Petro Porochenko devient exécrable, Mikheïl Sakaachvili démissionne de son poste de gouverneur d'Odessa accusant le président ukrainien de «piller» son peuple. Le 27 juillet 2017, alors qu'il se trouve aux Etats-Unis, le ministère de l'Intérieur décide de le déchoir de son statut de citoyen ukrainien.

Le désormais apatride ex-Président géorgien va désormais jeter toutes ses forces dans son combat contre Petro Porochenko. Dernier coup de poker, il s'invite de force, passe la frontière ukrainienne en septembre 2017, alors que l'ex-Première ministre Ioula Tymochendko et l'ex-ministre de la Défense Anatoliï Hrytsenko apportent leur soutien en l'accueillant à la frontière, venant défier le président ukrainien jusque devant le Parlement et participer aux prochaines élections législatives.


C'est ainsi qu'au terme de son parcours rocambolesque, Mikheïl Saakachvili se retrouve sur le toit d'un bâtiment à Kiev, traqué par la police ukrainienne, tandis que les forces spéciales perquisitionnent son appartement. Arrêté, il est finalement libéré par ses partisans ayant érigé des barricades. 
Déchu de sa nationalité… ukrainienne, expulsé vers la Pologne, exilé, l’ancien chef de l’État géorgien, Mikheil Saakachvili, a porté plainte contre le ministère de l’Intérieur, contre le Service migratoire (GMS) et contre les gardes-frontières ukrainiens.
Le 16 février, il obtenait une carte de séjour aux Pays-Bas, au titre du regroupement familial (son épouse, Sandra Saakachvili, née Roelofs, est sujette de la maison d’Orange-Nassau). Un document qui donne enfin un semblant d’identité à l’homme politique devenu apatride, car privé également de sa citoyenneté géorgienne.


Et L’Humanité !!! 28/07/2017
Une première dans l’histoire des chefs d’État. L’ancien président géorgien Mikhaïl Saakachvili, qui a tenu d’une main de fer son pays de 2004 à 2013, se retrouve aujourd’hui sans papiers. La faute au président ukrainien, Petro Porochenko, qui a décidé de lui retirer sa nationalité ukrainienne, remise en 2015 alors qu’il venait de le nommer gouverneur d’Odessa. Figure populaire de l’opposition depuis sa démission l’an dernier, et après avoir créé son propre parti, Mikhaïl Saakachvili était devenu un concurrent plus que sérieux du président, Porochenko, qui a choisi de l’éliminer de manière peu démocratique. Recherché par la justice géorgienne pour « abus de pouvoir », il ne peut pas se retourner vers son pays d’origine, ayant perdu sa nationalité au moment où il devenait ukrainien. Aujourd’hui bloqué à New York, cet antirusse notoire, depuis la défaite militaire infligée en 2008 par la Russie à la Géorgie en Ossétie du Sud, devrait avoir le plaisir de demander l’asile politique aux... États-Unis.

Et depuis…
Un temps exilé à New York de peur d’être extradé à Tbilissi où il fait l’objet de poursuites liées à sa présidence, Saakachvili ne veut plus lâcher sa patrie d’adoption. Après avoir forcé le passage à la frontière polonaise en décembre dernier, été libéré d’une manière rocambolesque par ses partisans et fait une grève de la faim, il a été finalement mis de force dans un avion lundi, destination Varsovie. D’où l’intéressé, désormais apatride, loin de réclamer l’asile politique à la Pologne, a annoncé qu’il entendait bien recouvrer sa nationalité ukrainienne. Le 12 février 2018, il est arrêté par les garde-frontières ukrainiens et expulsé vers la Pologne.. Puis, il arrive aux Pays-Bas (pays d’origine de son épouse) le 14 février suivant, et annonce vouloir y résider de manière permanente. Le 21 février 2018, les garde-frontières ukrainiens lui interdisent l'entrée dans le pays pour trois ans, soit jusqu'au...  13 février 2021. 



A suivre :
Géorgie - DAVID GAREJA : Presque chez les Azeris.....

Pratique : 10 GEL =3,03

FABRIKA -  8 E, Ninoshvili St - TBILISSI - 1 nuit en chambre double : 234,79 GEL !!! (et sans petit déj) . C'est cher, trop cher, mais Maguy avait envie d'y coucher et... pas en dortoir !

DZVELI SARDAPHI - 63 av. Aghmachénébéli - Déjeuner à 40,50 GEL - C'était très bon, mais le midi il n'y avait pas grand monde.


SHAVI LOMI - 28 Surab Kvlividz - 54,87 GEL - EXCELLENT...  Près de la Fabrika. Il est préférable de réserver. Nous avons eu de la chance ce soir-là. Mais nous avons voulu y retourner à notre 2e séjour et c'était complet !


Location de voiture : AUTO 4 RENTAL - 35 Vazha Pshavela Av.  (ce n'est plus la bonne adresse !!!)- Réservation en avril : 810 GEL pour 14 jours pour une Mitsubishi Pajero IO 4x4 - Automatic - A/C (soit 20€/j) - Livraison du véhicule à l'hôtel.... SUPER ! Aucune provision... Nous n'avons pas pris d'assurance complémentaire : tout est compris, sauf en cas d'accident après consommation d'alcool !!! Le gérant vient avec les papiers : l'état de la voiture est parfaitement mentionné... Voiture en bon état. Aucune crevaison. Pour le retour, nous avons remis la voiture au NAMASTE Hôtel... Aucun problème.
 

2 commentaires:

  1. Allez hop ! un peu de transports en commun !
    Architecture hétéroclite et parfois mastoc. Mais les peintures murales sont vraiment sympas.
    Et pour le cours d’histoire, on ne peut pas dire que la région brille pas sa stabilité…

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  2. bonjour, votre blog est bien fourni et agréable.
    Nous partons en Géorgie du 3 au 13 septembre...vous recommandez nous la boîte de location de voitures? vous paraît-elle sérieuse et fiable?

    Si vous avez quelques conseils à nous donner nous sommes preneurs...si vous voulez, on peut également échanger par téléphone 06 71 01 99 41 Nathalie et Maurice e Barjols (var)

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